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redressement judiciaire

Accompagner, comprendre, reconstruire

Quand agir et comment ?

Anticiper, c’est maximiser vos chances de réussite

Les chiffres sont clairs : une entreprise qui entre tôt dans une procédure adaptée voit ses perspectives s’améliorer considérablement.

  • 80 % des entreprises ayant obtenu un plan en sauvegarde sont encore en activité deux ans plus tard.
  • En redressement judiciaire, ce taux chute à 70 %, mais l’écart se creuse beaucoup plus à cinq ans.

La différence ? Le moment où le dirigeant décide d’agir.
Plus vous êtes accompagné tôt, plus vous conservez de leviers pour négocier, protéger votre activité et mettre en place un plan solide et durable.

Je sais qu’il n’est jamais facile pour un chef d’entreprise de franchir la porte d’un avocat et d’envisager une procédure collective. L’ego est bousculé, le doute s’installe. Mais gardez en tête que ce choix n’est pas un aveu d’échec : au contraire, c’est souvent le premier pas vers un nouveau départ.

Si les chances d’obtenir un plan sont élevées, vous pouvez transformer cette procédure en véritable tremplin pour rebondir, réorganiser, restructurer.

Ma méthode

L’objectif est simple : donner à votre entreprise une seconde chance, en construisant un plan de sauvegarde ou de redressement sincère, crédible et applicable.

  • Premier rendez-vous stratégique
    Un échange clair avec vous (et, si possible, avec votre expert-comptable ou un partenaire de mon réseau), pour poser un diagnostic précis, expliquer le rôle de chacun (avocat, expert-comptable, mandataire) et définir un cap.
  • Analyse approfondie de vos créances
    Chaque dette est examinée finement pour en vérifier la validité. Si certaines peuvent être contestées, je m’en charge.
  • Optimisation de la trésorerie
    Pendant la période d’observation, vous n’avez pas l’obligation de payer certaines dettes. L’entreprise va donc dégager de la trésorerie qui viendra renforcer la viabilité du projet.
  • Construction du plan
    Ensemble, nous bâtissons un plan cohérent et réaliste, qui tient compte de vos priorités (emploi, préservation d’actifs, remboursement progressif…).

    Le jour de l’audience, je le présente devant le tribunal avec une plaidoirie claire, rigoureuse et impliquée.

    Toutefois vous serez probablement interrogé par le tribunal : j’aurais pris soin de vous coacher au préalable.

Les difficultés de l’entreprise ne doivent pas entraîner l’effondrement du dirigeant. Si vous êtes personnellement visé (faillite personnelle, interdiction de gérer, accusation de gestion fautive…), je prends le relais pour vous défendre efficacement et humainement.

Mon approche :

 

  • Analyse minutieuse des accusations
    Je passe en revue les griefs formulés contre vous (abus de biens sociaux, paiements préférentiels, retards déclaratifs…) et prépare une argumentation précise, documentée et honnête.

     

  • Préparation à l’audience
    Je vous aide à comprendre les enjeux, à répondre avec sincérité, et à vous positionner comme un dirigeant de bonne foi, qui assume, explique et s’engage.
  • Défense complète, écrite et orale
    Des conclusions rigoureuses, une stratégie claire, et une présence solide à vos côtés devant le tribunal.

Pour en savoir plus

richard patou avocat spécialisé en procédure collective redressement judiciaire et liquidation judiciaire, divorce par consentement mutuel
PATOU AVOCAT

N’attendez pas
que la situation s’aggrave

accompagnement juridique d’un avocat auprès de dirigeantes pour trouver des solutions face aux difficultés de leur entreprise

Ma Task Force : Exigeante, Réactive, Engagée

OFFRE PREMIUM

Un accompagnement premium, pensé pour vous

Ce que je propose n’est pas un service standard. C’est une offre premium, construite pour donner au dirigeant en difficulté les meilleures chances de rebond.

J’interviens auprès de dirigeants de TPE, PME, commerçants, artisans, professions libérales ou startups, confrontés à une période critique mais encore prêts à agir.

Mes clients ont en commun :

  • La volonté sincère de sauver leur entreprise.
  • L’envie d’être accompagnés avec rigueur, mais sans jugement.
  • Le besoin de protéger leur patrimoine personnel et leur avenir professionnel.

Ce que les juges attendent… et que je vous aide à incarner

Le tribunal n’attend pas un miracle, mais une preuve d’engagement et de lucidité. Un dirigeant qui agit tôt, présente un plan clair, comprend ses erreurs passées et montre qu’il est prêt à s’impliquer, sera écouté.

C’est cette posture que je vous aide à adopter, avec des outils concrets, une préparation précise et un accompagnement humain.

À mes côtés, j’ai réuni une véritable équipe : expert-comptable, banquier, partenaires spécialisés. Une équipe opérationnelle, mobilisée pour votre entreprise comme une unité d’élite.

Mais il y a une règle : pour rejoindre cette dynamique, il faut être prêt à s’impliquer pleinement. Je suis exigeant avec mes clients, car la réactivité et l’engagement sont essentiels à la pleine réussite de nos objectifs.

FAQ

Non, plus vous agissez tôt, mieux c’est. Si vous constatez des difficultés persistantes (trésorerie tendue, retards de paiement, pression des créanciers), il est souvent possible de solliciter une procédure de sauvegarde, sans être encore en cessation des paiements. Cela permet de reprendre la main, de figer les dettes, et d’éviter des poursuites.

La procédure concerne toutes les dettes nées avant le jugement d’ouverture (dettes fiscales, sociales, fournisseurs, loyers, prêts…). Une fois la procédure ouverte, ces créances sont gelées, et leur paiement est suspendu. Les dettes nées après l’ouverture devront en revanche être payées normalement.
Non, vous restez dirigeant pendant toute la période d’observation. Vous pouvez continuer à gérer, signer des contrats, embaucher, etc. Mais certaines décisions importantes nécessiteront l’accord du mandataire judiciaire. Le tribunal attend surtout que vous soyez actif, transparent et coopératif.
La procédure est formellement publique, car elle est mentionnée au BODACC et peut apparaître dans certains fichiers (Infogreffe, Societe.com…). Mais dans la pratique, cela reste discret, surtout pour une petite entreprise. Beaucoup de partenaires comprennent aujourd’hui que c’est un outil de rebond, pas un échec.

Cela dépend de la forme de votre entreprise (entrepreneur individuel, SARL etc…). Cependant, si vous avez commis certaines fautes de gestion, ou si vous êtes caution sur des dettes professionnelles, des poursuites personnelles peuvent être envisagées. C’est pourquoi il est crucial d’être bien conseillé dès le départ.